Tout savoir sur le Physioscan !
Il existe de nombreuses disciplines parallèles qui prennent la forme de pratiques comme l’acupuncture, la naturopathie ou l’homéopathie, par exemple. Celles-ci n’ont pas pour vocation de se substituer à la médecine classique mais d’agir dans une démarche de complémentarité. Parmi ces disciplines, il y a l’utilisation du Physioscan, qui est encore peu connu du grand public.
Qu’est-ce que le Physioscan ?
À la question de savoir ce qu’est exactement un Physioscan, il s’agit d’un « appareil qui mesure les fréquences vibratoires des différentes parties du corps et qui les rééquilibre, si cela s’avère nécessaire. » En effet, même si on n’en est généralement pas conscient, nos organes, nos tissus, nos cellules… ont chacun leurs propres fréquences.
Et si ce sujet peut paraître un peu obscur au premier abord, c’est parce que, dans notre culture, on est peu familier du fait que l’univers, et donc notre corps aussi, est fait de matière, d’énergie et d’information.
En effet, l’organisme est un ensemble de particules qui vibrent à des fréquences vibratoires différentes et dont le fonctionnement est affaire d’harmonie. Si nécessaire, le Physioscan peut donc envoyer une information pour leur proposer d’évoluer vers un état plus harmonieux.
J’ai découvert le Physioscan lors d’un stage intensif pour comprendre la physique quantique. Je me suis ensuite rendue à Montpellier, le lieu de commercialisation de l’appareil qui propose également des formations.
En Belgique, de nombreux médecins, naturopathes, coaches sportifs… disposent d’un Physioscan car cet outil est accessible à tous. La formation permet de gagner en connaissance et en expérience quant à l’utilisation de l’appareil et l’accès à ses ressources, même si,, « l’interprétation des résultats dépend des compétences et de la formation du praticien ».
C’est pourquoi je tiens à préciser que « le Physioscan est dans l’information et dans l’énergétique, pas dans la prédiction. Par exemple, ce n’est pas parce que la courbe vibratoire d’un organe est proche de celle d’une pathologie, dans la base de données, que cette pathologie va effectivement se produire. C’est une potentialité et non une probabilité ! »
Comment fonctionne le Physioscan ?
À l’inverse de la pharmacopée classique qui tend à traiter un symptôme (un médicament pour les maux de tête, un autre pour les soucis de digestion, un troisième pour la toux…), le Physioscan tente aussi d’en déterminer la cause et de la rééquilibrer.
Il permet à la fois de :
« Détecter la racine du mal-être, de l’inconfort, de la douleur…
Et de rééquilibrer la source du problème et le lieu du symptôme, en indiquant au corps quelle est la direction pour ce faire, de façon à ce que les dysfonctionnements de la matière s’estompent pour un fonctionnement plus harmonieux ».
Cela fonctionne donc en deux temps : d’abord une prise de mesures et, ensuite, une comparaison avec les informations d’une importante banque de données. Différents supports permettent de comparer les résultats avec des données standards, de façon à visualiser les écarts au niveau entropique (l’entropie est un principe de dégradation de l’énergie).
Le site de référence du Physioscan explique qu’il permet de réaliser « un bilan rapide et précis du niveau énergétique des différents systèmes qui déterminent l’équilibre de l’individu », avant de « faire un rééquilibrage fréquentiel en restaurant les fréquences organiques optimales ».
À l’origine, le principe a été inventé par des scientifiques de l’URSS, pour nous aider à comprendre l’historique du Physioscan. Ceux-ci avaient remarqué, alors qu’ils envoyaient des cosmonautes dans l’espace avec des médicaments classiques, que ces derniers fonctionnaient bien mais avec des effets secondaires décuplés. Leur position stratégique entre l’Occident et l’Orient les a poussés à chercher une solution en puisant des deux côtés : dans le domaine occidental davantage rationnel et dans celui des disciplines orientales subtiles s’intéressant à l’énergie (comme les méridiens, par exemple).
À qui s’adresse le Physioscan ?
Si vous êtes intéressés par le Physioscan mais que vous n’êtes pas sûrs que cela s’applique à votre profil, rassurez-vous : c’est accessible à tous, adultes, enfants, hommes, femmes… Quant au nombre de séances nécessaires pour obtenir un résultat, s’il dépend de chaque personne et de ses symptômes, il ne nécessite que quelques entretiens. « Certaines personnes viennent pour un bilan annuel, d’autres arrivent après avoir tout essayé… Mais il ne faut jamais dix séances. ».
Il ne s’agit pas d’une thérapie alternative (dans le sens où on peut choisir entre deux), mais d’une discipline complémentaire. « Les gens viennent me demander des conseils, j’essaye de les accompagner, de les rediriger aussi. »
N’hésite pas à me contacter pour un savoir plus!